Faisons un petit retour sur la Peugeot 306 et son problème de train arrière.
306 : remplaçante de la Peugeot 309
En 1993, Peugeot lance la commercialisation d’une nouvelle voiture : la 306. Elle est la remplaçante de la 309. Il s’agit là d’une compacte, disponible en 3 et 5 portes.
La production dure de 1993 à 2002, avec une vente de 2,8 millions d’exemplaires.
Elle a été déclinée en 306 berline, 306 Cabriolet, 306 break ainsi qu’en quelques modèles sportifs.
Elle a été remplacée par la 307, elle-même remplacée par la 308.
Voici trois de ses atouts et trois de ses faiblesses, cette liste n’est absolument pas exhaustive.
Ses atouts :
- Bonne tenue de route ;
- Confort ;
- Grand coffre.
Ses faiblesses :
- Mauvaise ergonomie (avant son restylage en 1997) ;
- Insonorisation incomplète ;
- Mauvaise réception radio.
Le problème du train arrière de la Peugeot 306
Le train arrière de la 306 (aussi appelé essieu arrière) présente un défaut, le même que celui de la 206.
L’essieu est une pièce supportant deux roues à ses extrémités dont l’axe est disposé transversalement sous le véhicule. Il relie les roues au châssis et maintient l’écartement entre celles-ci.
Il n’est pas rare que celui-ci soit déficient aux alentours des 150 000 km, le plus souvent du côté droit.
Pour savoir si votre train arrière est déficient, vérifiez qu’il est bien fixe, écoutez le bruit qu’il fait lorsque vous roulez, il devrait être silencieux. Par ailleurs, vous pouvez vérifier vos pneus, s’ils s’usent à l’intérieur, cela peut indiquer une anomalie.
En apprendre davantage sur le train arrière de la 306.
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Sources
Crédit photo : Anhibg